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Snakeskins

Benoît Lachambre

Concept, chorégraphie et interprétation

Benoît Lachambre

 

Avec la participation de

Daniele Albanese

 

Compositeur et musique live

Hahn Rowe

 

Assistants artistiques

Daniele Albanese, Hanna Hedman

 

Costumes et accessoires

Alexandra Bertaut

 

Photographe Christine

Rose Divito

 

Éclairages

Yves Godin

 

Scénographie

Benoît Lachambre, Yves Godin, Philippe Dupeyroux

 

Direction technique Johannes Sundrup

 

Production Par B.L.eux (Montréal).

Coproduction Kunstenfestivaldesarts (Brussels), PACT Zollverein – Choreographisches Zentrum NRW (Essen), Atelier de Paris-Carolyn Carlson et CDC Paris Réseau/centre de développement chorégraphique (Atelier de Paris-Carolyn Carlson, L’étoile du nord, micadanses-ADDP, studio Le regard du Cygne-AMD XXe), SNDO (Amsterdam), La Bâtie – Festival de Genève, Musée de La Danse / Centre Chorégraphique National de Rennes et de Bretagne (Rennes). Avec le soutien du Théâtre de la Bastille (Paris), de la Ville de Paris dans le cadre de son programme de résidence à la Cité internationale des Arts et la participation spéciale de la Compagnie Stalk (Parma).

La première de Snakeskins a eu lieu en mai 2012 dans le cadre du PACT Zollverein (Essen, Allemagne)

© Crédit photographie : Christine Rose Divito

 

Il y a dix ans, Benoît Lachambre présentait son premier « faux » solo chorégraphique. Le voici de retour avec Snakeskins, une pièce multimédia et polysensorielle. Pour son nouveau spectacle, Benoît Lachambre file la métaphore reptilienne. Snakeskins parle inévitablement de la mue, souligne ce qui en résulte et se décompose au fil du temps.

 

Ce solo, ou plutôt une fois de plus ce « faux solo », car il est accompagné sur le plateau par le danseur Daniele Albanese et par le compositeur multi-instrumentiste Hahn Rowe, offre au chorégraphe l’occasion d’affûter les lignes de force qui traversent son travail et de repositionner son action artistique dans le temps présent. Pour mettre à jour ce processus très intérieur, très organique, le chorégraphe imagine une structure en perspective qui crée dans l’espace un point de fuite, et s’y accroche pour travailler sur les compensations de poids. Le corps ondule, s’abandonne, se transforme en fonction des infimes modifications de symétrie et d’équilibre.

 

De là, les variations et l’ampleur du mouvement sont multiples. Avec Snakeskins, le chorégraphe et danseur se livre comme jamais, faisant de sa peau une surface de résistance à toutes les idées trop formatées.

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