top of page

Samsara

Jann Gallois

2019

CHORÉGRAPHIE ET SCÉNOGRAPHIE

Jann Gallois 


CONSEIL À LA SCÉNOGRAPHIE

Delphine Sainte-Marie 


LUMIÈRES

Cyril Mulon 


MUSIQUE

Charles Amblard


COSTUMES

Marie-Cécile Viault


regard exterieur

Frédéric Le Van

AVEC

Inkeun Baïk, Carla Diego, Shirwann Jeammes, Jean-Charles Jousni, Marie Hanna Klemm, Jérémy Kouyoumdjian, Laureline Richard
Marie-Hanna Klemm suite à une blessure, sera remplacée exceptionnellement par Jann Gallois pour les premières représentations.

PRODUCTION DÉLÉGUÉE CHAILLOT – THÉÂTRE NATIONAL DE LA DANSE, CIE BURNOUT
COPRODUCTION MAISON DE LA DANSE, PÔLE EUROPÉEN DE CRÉATION, DRAC AUVERGNE – RHÔNE-ALPES / MINISTÈRE DE LA CULTURE, THÉÂTRE PAUL ELUARD (TPE) DE BEZONS, SCÈNE CONVENTIONNÉE D’INTÉRÊT NATIONAL ART & CRÉATION – DANSE, THÉÂTRE DE RUNGIS, L’ATELIER A SPECTACLE, SCÈNE CONVENTIONNÉE DE L’AGGLO DU PAYS DE DREUX
AVEC LE SOUTIEN DU CENTRE NATIONAL DE DANSE CONTEMPORAINE ANGERS DANS LE CADRE DE L’ACCUEIL STUDIO, DE LA BRIQUETERIE - CDCN DU VAL-DE-MARNE, DE LA MAC DE CRÉTEIL, DU MECENAT DE LA CAISSE DES DEPOTS,
REMERCIEMENTS A L’ECOLE DU SPECTACLE – ESPACE LAURISTON
JANN GALLOIS | CIE BURNOUT REÇOIT LE SOUTIEN DE LA DRAC ÎLE-DE-FRANCE AU TITRE DE L'AIDE À LA STRUCTURATION - MINISTÈRE DE LA CULTURE, DE LA RÉGION ÎLE-DE-FRANCE AU TITRE DE LA PERMANENCE ARTISTIQUE ET CULTURELLE AINSI QUE DE LA FONDATION BNP PARIBAS.

Artiste associée à Chaillot, Jann Gallois poursuit un chemin singulier entre héritage hip hop et influence contemporaine. Sa nouvelle création puise son inspiration dans la philosophie bouddhiste.

Partir des contraintes du corps. Et à travers elles, explorer nos relations à l’autre, aux autres, ou à nous-mêmes. Les dernières créations de Jann Gallois témoignent de la quête toujours renouvelée de donner une traduction physique à ce qui fonde nos existences. S’inscrivant dans cette démarche, sa nouvelle pièce traite du cycle des renaissances selon la croyance bouddhiste. En sanskrit, « samsara » signifie « l’ensemble de ce qui circule », c’est-à-dire la succession d’existences et de renaissances à laquelle sont condamnés les êtres humains, jusqu’au moment où, enfin éveillés, débarrassés des désirs incontrôlés mais aussi de la souffrance, ils atteignent la paix éternelle du nirvana. Pour rendre sensible cette vision du monde, la chorégraphe met en place un dispositif scénique particulier, qui soumet et enlace les interprètes les uns aux autres. L’objectif étant, pour chacun, de parvenir à s’extraire et à se libérer de cette « humaine condition », et de renouer avec sa part spirituelle, quelle que soit sa forme. [Isabelle Calabre]

bottom of page