Étienne Aussel Réalisateur & Vidéaste
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Que ma joie demeure
Béatrice Massin
2025
Réalisation de l'adaptation audiovisuelle
Etienne Aussel
Cadre : Etienne Aussel et Yann Philippe
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Conception et chorégraphie Béatrice Massin
Assistanat à la chorégraphie et notatrice Béatrice Aubert
Avec Lou Cantor, Antonin Chediny, Rémi Gérard, Yan Giraldou, Marion Jousseaume, Mylène Lamugnière, Léa Lansade, Clément Lecigne, Enzo Pauchet, Alessia Pinto
Musique J-S. Bach, concertos Brandebourgeois (2e, 3e, 6e) enregistrés par « The Amsterdam Baroque orchestra », direction Ton Koopman.
Duo « Wir eilen », Cantate BWV 78, enregistrée par la Chapelle Royale, directionPhilippe Herreweghe
Création sonore et régie son Emmanuel Nappey
Création lumières Rémi Nicolas assisté de Thierry Charlier
Régie générale et lumière Thierry Charlier en alternance avec Boris Molinié
Création costumes Dominique Fabrègue recréés par Clémentine Monsaingeon
Direction de production et diffusion La Table Verte productions
Administration de production Marc Pérennès
Plus de vingt ans après sa création et son énorme succès, Béatrice Massin nous offre avec Que ma joie demeure # 2025 une relecture de sa pièce la plus emblématique.
« Faire que chaque danseur ait un corps « instrument de musique », que la communauté des interprètes vive le rapport à la partition musicale comme un orchestre ». Cette phrase, tirée de la note d’intention de Que ma joie demeure au moment de son invention en 2002, reste aujourd’hui la ligne directrice de Béatrice Massin. Après 180 représentations et bien plus encore de répétitions, la chorégraphe connait sur le bout des doigts les lignes de force de ce grand succès, emblématique de son baroque jubilatoire. Mais elle y décèle également quelques séquences qui ne lui semblent pas totalement abouties.
Une partition euphorisante
C’est pourquoi, accompagnée de dix nouveaux interprètes à l’énergie généreuse, elle a décidé de remettre son ouvrage sur le métier. Les Concertos Brandebourgeois de Jean-Sébastien Bach, toujours, un tapis de danse rouge, des costumes orangés et un long crescendo euphorisant encore. « Nous allons faire évoluer le plaisir du langage chorégraphique référencé au baroque, spécifique dans son rapport précis au temps musical, en le conjuguant avec un immense phrasé spatial » confie la chorégraphe. On a hâte !
Delphine Baffour