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Prendre l'air

Cie Point Virgule / Claire Jenny - Danse Contemporaine

[chorégraphie] Claire Jenny 

[univers sonore] Nicolas Martz 

[scénographie] Pascal Dibilio

[conception des images] Etienne Aussel

[costumes] Claire Djemah et Agnès d’At

[création des lumières]  Laurent Labarrère

[interprétation] Natacha Garcin, Paule Groleau, Jean-Pierre Poisson et Juliette Vezat

[récits et mots] Anouk, Charline Schober et des enfants d’écoles de Champigny-sur-Marne

[travail d’interprétation des danseurs] Nathalie Schulmann

 

Une coproduction de la compagnie Point Virgule, du service culturel de Champigny-sur-Marne, du Théâtre Brétigny, Scène conventionnée du Val d’Orge, de la Maison des Arts de Créteil et du CCN de Créteil et du Val-de-Marne/Cie Montalvo-Hervieu. Avec le soutien de la Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Ile-de-France Ministère de la Culture et de la Communication, du Conseil Général de L’Essonne et de la ville de Yerres.

« Voler de ses propres ailes, libre comme l’air, nez en l’air, l’air de rien, tombé du ciel,…hommage de la chorégraphe Claire Jenny à la légèreté »

Prendre l’air, une invitation à parcourir les phénomènes de l’aérien : de l’ancrage à l’envol en passant par tous les jeux de l’équilibre. Cette pièce chorégraphique éveille l’apaisement, les sensations de l’axe dynamique du corps, de l’être - un axe qui joue librement, légèrement avec la verticalité, quoi qu'il arrive.

On ne peut se passer de l’axe vertical pour exprimer les valeurs morales. Toute valorisation est verticalisation. En particulier, l’air imaginaire est l’hormone qui nous fait grandir psychiquement. L’air et les songes, Gaston Bachelard

Les différents langages artistiques qui créent Prendre l’air : la danse, le décor, les costumes, les lumières, le son et les images « bricolent » ensemble pour mêler le quotidien et le merveilleux, pour créer des atmosphères de rêverie. La magie des machineries, les artifices de la scénographie et des images projetées, les effets de costumes et les jeux de lumière s’amusent de la gravité et développent des espaces-temps fantastiques.

Cette pièce chorégraphique rend hommage à l’imaginaire des enfants qui se déploie par et grâce au développement de leur langage. Cet imaginaire nous permet de « prendre l’air » en regard de notre réalité même quand il puise son origine dans nos vécus… comme dans nos rêves où tout est possible, où l’espace de nos trajets et le temps qui s’écoule se modèlent à notre guise.

 

Prendre l’air, un temps suspendu en contraste de nos quotidiens trop souvent agités et fractionnés; une pièce ludique, un appel au vol onirique

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