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Contre-nature

Rachid Ouramdane

2024

Réalisation de l'adaptation audiovisuelle

Etienne Aussel

Responsable de production audiovisuelle

Thomas Rollo

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Chorégraphie  Rachid Ouramdane

Musique   Jean-Baptiste Julien

Lumières  Stéphane Graillot

Scénographie   Sylvain Giraudeau

Vidéo   Jean-Camille Goimard

Costumes   Siegrid Petit-Imbert

 

Avec des interprètes de la Compagnie de Chaillot :

Joaquin Bravo, Clotaire Fouchereau, Löric Fouchereau, Peter Freeman, Emma Loïs, Maria Celeste Mendozi, Léo Merrien, Mayalen Otondo, Lucas Tissot, Aure Wachter, Owen Winship

Remerciement

Lorenzo Dasse

Production : Chaillot - Théâtre national de la Danse

Avec le soutien de Dance Reflections by Van Cleef & Arpels

Coproduction : Bonlieu-Scène Nationale d’Annecy ; Maison de la danse, Lyon – Pôle européen de création ; National Theater & Concert Hall Taipei (TW) ; Théâtre de Caen ; MC2: Maison de la Culture de Grenoble - Scène nationale 

Le chorégraphe et directeur de Chaillot – Théâtre national de la Danse poursuit sa recherche autour du geste aérien. Mêlant corps à corps et envols, il évoque avec dix interprètes de la Compagnie de Chaillot, l’enfance, les marques du temps qui passe, la disparition… Il imagine la façon dont nos proches continuent de nous accompagner de leur présence malgré leur disparition.

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Après des spectacles d’inspiration sociétale (Loin, Des Témoins ordinaires, Sfumato, Franchir la nuit), fondés sur l’intime (TORDRE, Corps extrêmes, Outsider) ou d’autres pour des environnements monumentaux (Möbius Morphosis avec la Compagnie XY donné en juillet 2024 au Panthéon), Rachid Ouramdane tient à revenir à l’étude du geste dans un nouvel opus qui mêle corps à corps et envols. 

Pour cette nouvelle création, le chorégraphe entend mettre à l’honneur ce qui nourrit l’imaginaire du mouvement, poursuivant sa recherche autour du geste aérien. À ses côtés, dix interprètes de la Compagnie de Chaillot dont les styles et techniques varient. « Il faut des gens qui ont des parcours un peu hybrides, c’est-à-dire qui sont aussi bien à l’aise dans les airs qu’au sol, toutes ces façons de danser, de bouger, de se projeter, qu’elles soient partagées », résume le chorégraphe. 

Ainsi, dix interprètes hétéroclites, à la gestuelle fine, seront réunis afin d’associer et d’entremêler leur langage et d’en faire naître un nouveau, à la croisée des chemins de l’aérien et de la danse. 

Sur un plateau nu, tantôt sculpté par la lumière, tantôt laissant apparaitre des images projetées dans une brume, Rachid Ouramdane évoque l’enfance et le vieillissement. Au travers d’éléments qui marquent le temps qui passe autant que l’absence, il imagine « comment on continue d’avancer, habité par d’autres personnes que l’on n’a plus autour de soi, ces fantômes (…) qui nous accompagnent. »

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